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Tout est dit dans l’image…
Eh oui, on nous parle sans cesse de gaz à effets de serre, mais ils ne sont pas les seuls à participer au dérèglement, que j’appelle depuis des années chaos climatique. Il y a d’autres facteurs comme par exemple toutes nos substances chimiques distribuées à doses infinitésimales mais pondérables (puisqu’on en connaît généralement les sources, la stabilité chimique, etc.). Tout est question de chaleur dans ce chaos, de chaleur agissante sur les masses d’air et sur l’humide terrestre.
Toutes nos activités dégagent de la chaleur, et la chaleur n’est pas recyclable, pas renouvelable. On la consomme en permanence : tout style d’énergie se dissipe immanquablement en chaleur d’une manière ou d’une autre. On rayonne, tout le monde rayonne, en permanence.
Non, non, ceci va être de la science disons non triviale ou légère. De la physique, pas des corps enflammés pour assouvir quelques fantasmes…
Le matin avant le levé du soleil, vers l’ouest l’horizon s’habille de la ceinture de Vénus, la déesse et non la planète.
Voici ce qu’on lit sur wikipédia, l’encyclopédie communautaire, dans un genre quasi symptomatique de notre époque (d’autres sites vulgarisateurs comme « Futura Science » se veulent plus simple sur ce sujet) :
Suite de Destroy 1 Détruire le monde Voir év. cet ancien billet : Humain : chancre ou chantre ?
La première partie de ce billet nous a offert quelques éléments de réflexion sur nos sources d’approvisionnement pour le développement de notre civilisation. La suivante aura-t-elle des possibilités de même nature ? Fera-t-elle preuve de plus de sagesse ? … Sera-t-elle ?…
Je ne m’aventurerai pas sur le terrain de perspectives ‘élucubrées‘… On ignore tout de ce qui sera demain encore conforme à nos attentes, nos espoirs, nos ambitions ! Observons-nous, aujourd’hui, nous, les humains !
Suite au billet précédent qui semble peut-être extraterritorial à certains (vis à vis de la science) je souhaite revenir à plus d’objectivité.
Qui ne constate que quelque chose ne va correctement en Notre monde ? La liste est longue des faits divers ou moins divers dont nous abreuvent les flashs d’information suivis ou non d’interprétations, perspectives ou autres élucubrations.
Les faits sont les faits, on les observe et on en déduit ou une cause ou un aboutissement, voire une cause et un aboutissement. Par exemple, le chaos climatique actuel… Il n’échappe à personne que « ce n’est plus comme avant ». La routine est cassée. On peut être contre l’idée d’un changement climatique, pourquoi pas, mais on ne peut pas nier que ce changement remonte en gros à la naissance de l’ère industrielle. Oui, c’est un fait, explicable en plus…
Et, disons-le tout haut : sans cette étape de l’histoire de l’humanité, on n’en serait peut-être pas là, la nature continuerait son train-train sans raison qu’il change et que la situation deviennent chaotique. Un système aussi complexe que celui de notre planète traite tant de paramètres que l’on a affaire à une recherche permanente de l’équilibre autour d’une situation qui doit rester stable.
Là est la question…
J’aurai aussi pu titrer
(mais peu de gens auraient compris) car c’est un article ou l’on finira par comprendre que
je suis ET ne suis pas le fils de mes parents
Contrairement au chat de Schrodinger qui nous interroge sur les états physiques [n’oublions pas que l’histoire de ce chat est simplement une expérience de pensée pour illustrer le concept de superposition quantique, une autre échelle que la nôtre], il ne s’agit pas d’une représentation mentale mais bien d’une expérience qui peut être quotidienne. [Ce fameux chat qu’on peut appeler Ulysse (Personne) est vivant et mort pour la réalité quantique, ce qu’il ne peut être pour la réalité commune pleine de « Quelqu’un »…]
Être et ne pas être le descendant de ses ascendants est une simple réalité à laquelle beaucoup de gens se confrontent, à laquelle d’autres font ce qu’ils peuvent pour l’ignorer, la fuir, vis à vis de laquelle d’autres enfin voudraient imposer leur nihilisme.
D’abord j’ai cet étrange sentiment que non je ne viens pas de mes parents et cela depuis bien avant que je sois en capacité de m’interroger sur le « qui suis-je ? ». Pas un doute, non, un sentiment. La biologie me dit que oui je suis bien le fils de mes géniteurs et que si j’ai des doutes je peux toujours payer pour faire analyser mon acide désoxyribonucléique afin le mettre en parallèle avec celui de mes deux parents biologiques (à fournir aussi pour l’analyse si ce n’est déjà fait par ailleurs).
Les connaissant, je sais que je suis leur fils à n’en pas douter, et que leurs gamètes à tous les deux ont contribué à faire en sorte que je puisse atteindre comme un espace de la conscience de moi ; mais pas de la conscience de Moi ! Et c’est là que ça coince, et qu’il faut se poser des questions.
ou
Une émission de radio qui prenait dimanche dernier le même chemin que moi m’a interpellé par quelques propos de Bouli Lanners (réalisateur, metteur en scène, acteur, scénariste) qui ont coïncidé avec mon court passage sur cette route du Gard où j’avais 2 km à faire. La radio était allumée, je n’ai pas choisi.
L’émission est ici et le moment sur lequel je suis ‘tombé’ est à peu près au milieu, à partir de la 22e minute. Je ne reprendrais pas ici le propos pour le juger puisque je n’ai pas écouté la suite de l’émission ni son début. Ce que j’ai entendu m’a juste mené dans une réflexion que je vous soumets maintenant. Car, j’ai réagi… Je ne sais pas ce que dit par ailleurs Bouli Lanners mais là il disait que l’idée de mettre l’Homme au centre de tout comme cela est proposé par le christianisme l’insupporte.
Je le comprends. J’ai aussi emprunté ce chemin pendant ma période d’adolescence… je ne supportais pas qu’on place l’Homme comme une sorte de phare ! Pourtant, après bien des années….
À l’origine de ce blog, un article : https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/occitanie-le-loup-n-est-pas-l-animal-cruel-que-l-on-croit-selon-le-chercheur-pierre-jouventin-2282134.html et une réflexion rapide que j’ai envoyée sur un réseau social connu… :
C’est curieux cette habitude humaine qui remonte à des peurs d’un autre âge. Le loup est comme les autres animaux, il ignore le mal. Cela nous montre avec certitude que l’humain n’en est pas un, animal, il connaît le mal, le cultive avec délice alors qu’il devrait cultiver l’inverse, et se sentir responsable à la fois de ses erreurs de « jeunesse » et de la nature. Celle-ci est capable d’absorber ses fantaisies jusqu’à un point maintenant largement dépassé mais elle ne le punira pas, elle ignore le mal… Par contre elle manifeste son déséquilibre, et … ça nous dérange !!!
Le Loup de nos contes n’était pas le loup de nos forêts… pas plus que le serpent de nos forêts n’était l’insidieux Serpent de la Genèse, ni Jörmungand celui de Midgard, ni les Dragons de Chine, et encore le Vert du Conte de Goethe.
Mais les adorateurs du loup ne vouent pas forcément le même intérêt aux serpents, alors ils s’offusquent moins du manque d’amour ou de reconnaissance dont ces derniers sont l’objet. Quoi qu’il en soit, le petit chaperon rouge n’affronte pas un loup, ou alors cela est très naïf de le croire.
Oui, je sais ce titre est un peu tape à l’œil, provocateur et limite en expression. Mais c’est ce qui m’est venu à l’esprit en voyant cette coupe (parcelle AB0025, St André de Roquepertuis, Gard) parce que mon émotion m’a pris aux tripes !
ON m’en avait parlé. J’ai passé un mail à Denis Cheissous (CO2, mon amour, France Inter) pour attirer son attention car il me parait être un personnage médiatique « assez » sensible… Voici mes interrogations personnelles !
L’époque actuelle est semblable à une sorte de crise identitaire de l’humanité. Que représente l’humain ? Quelles sont ses véritables forces, capacités, aptitudes ? Pourquoi l’humain ? Qui est-on ?
Pour répondre à ses questions l’humain en question prête un peu trop foi (à mon goût) aux preuves par la technologie et la science qui tire ses conclusions pour nous, façonne ses postulats, s’aveugle sur la puissance de ses technologies.
Nos moyens non destructifs d’investigation au sein des processus cérébraux sont tout simplement extraordinaires. C’est une performance à nombreux titre. Mais est-ce une solution de réponse aux questions existentielles ? Est-ce une preuve d’objectivité holistique ? Non !