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Objectivité ou/et dogmatisme ?

La lecture coup sur coup de deux articles sur des sites différents m’incite à la réflexion sur le sujet en titre. Il s’agit pour l’heure des sites suivants (mais il y en a pléthore qui déversent tous un argumentaire plus ou moins nauséabond en faisant état d’un objectivité bien pesée et bien-pensante) :

Peut-on trouver dans ce genre d’argutie matière à établir un jugement personnel sur le sujet visé ? Ou bien y a-t-il là juste des points choisis et critiqué en étant plus ou moins hors contexte ? Doit-on former son opinion personnelle sur ce genre de pamphlet ou bien se rapporter à ce qui les a motivés ?

Esprit de clocher… Prêcher pour sa paroisse… ou Aller vers la conséquence de ses actes !

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BRÈVE : L’Aude sous les eaux

Aussi des photos de Paris match ici.

 

On a l’habitude dans notre monde de chercher et de trouver des responsables pour tout, et n’importe quoi. Tout ça pour répondre à des questions de justices éventuellement et surtout à des questions économiques : qui paie les pots cassés ?

Qui assume la couverture financière de faits non imputables à des tiers identifiables ?

Nous sommes tous responsables en tant que civilisation… ils sont tous les victimes aussi responsables de leur malheur, non seulement à cause des sources fossiles d’énergie (et, on le montrera un jour, à cause de l’industrie nucléaire !) mais aussi, et surtout ici, des pratiques culturales

  • qui transforment la terre arable en béton,
  • qui drainent la terre des excédents d’eau,
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humain (I)

Le musée de l’homme rouvre ses portes. Au moins ce qu’on peut dire c’est que nos traces seront mieux mises en valeur…

Trêve de plaisanterie, je vais tenter le tour de force d’un billet de blog sur le thème de l’humain et du temps. [Ceci dit, cet article en 3 parties n’est aucunement critique envers le « MUSÉE DE L’HOMME » qui possède de nombreuses qualités, présente un remarquable travail et constitue un trésor pour l’étude de … l’humain.]

Pourquoi titrer « humain » alors que tout le monde dit l’Homme ?

On dit « Homme avec un grand H ». C’est un peu stupide, non ?…

Pourtant on a un mot tout fait :

humain

Bien qu’au masculin [on a un genre polarisé en français mais pas de neutre pour lier les extrêmes !], le mot « humain » désigne le caractère commun de l’homme (avec un petit h) et de la Femme (mettons-lui un grand F pour tenter d’eFFacer les siècles d’inFériorité dogmatique et doctrinaire).

[En fait c’est le mot « homme » qu’il faudrait changer pour tenir compte de la part masculine au sein de son tout humain comme on le fait avec le mot « femme » ; cela éviterait d’avoir un H majuscule, car même si cela fait noble pour nommer le genre humain, on n’a jamais de F majuscule pour Femme….

Ils et elles : personnellement cela ne me dérange pas du tout quand je suis dans un groupe de femmes et que l’animateur ou l’animatrice dit quelque chose comme : « mettez-vous toutes face à moi »… je ne me sens pas mal à l’aise et je crois même que je ne comprendrais pas qu’on emploie le masculin au titre d’une règle stupide. Je pense que dès lors qu’il y a plus de femmes que d’hommes dans un groupe, et vu que le français ne possède pas de genre neutre, on devrait  »genrer » selon la majorité… (et si cette majorité est ambiguë, garder le masculin par habitude, ne tombons pas dans l’excès de tout réformer pour réformer non plus).]

HUMAIN possède un caractère adjectif et substantif sur lequel il est intéressant de jouer. Personnellement je n’utilise le substantif homme que pour parler de l’individu masculin inscrit dans la nature humaine vivant dans les individus formant l’humanité, individus qui sont tous (des pires aux plus saints) des humains.

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agriculture culture élevage Environnement

Vous avez dit Végan ?

Il sera parlé ici de nord et sud, ceci vaut pour l’hémisphère nord
(autrement dit le nord est vers l'Arctique...).

À mon sens le problème n’est pas dans ce choix d’ordre manichéen… voyons pourquoi ? (Nous comprendrons en même temps comment utiliser notre faculté pensante à l’égard de tels messages tout gentils.)

L’humain n’a pas choisi la frugalité et les peuples du nord en auraient été incapables à l’époque où les transports ne venaient sauver cette situation à grand renfort d’exploitation des ressources du sud d’une part et d’une immense mobilisation énergétique d’autre part.

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agriculture OGM société

OGM : pour bientôt un marché libre européen ?!!

Un article du Monde  (mis à jour le ) titre :

La culture des OGM facilitée dans l’Union européenne

Mis à part des circonvolutions de la démarche européenne décrites, il est dit ceci :

<<
De leur côté, les États « anti-OGM » (ils sont 19, dont la France, à s’opposer à ces cultures) ne pouvaient interdire les cultures transgéniques qu’en prenant sur leur territoire des clauses de sauvegarde ou des mesures d’urgence pour des motifs environnementaux et sanitaires. Une procédure très fragile juridiquement.
>>

Le fait qu’un pays déclare fondamentalement la sauvegarde de son territoire est un argument législatif fragile !!! Cela veut dire en gros que c’est le juridique, et non la conviction individuelle, qui empêche les OGM. On a trouvé comme prétexte les deux qui sont pourtant fondamentaux : sauvegarde et mesures d’urgence pour des motifs environnementaux et sanitaires.

Mais ce serait sans doute fragile et facilement détournable sans doute…et les semenciers dont la poussée ne faiblit pas pourraient trouver les failles du juridiques !!!!

Alors on va clarifier les textes, au risque de créer encore plus de failles !…

Pourquoi la phrase « les OGM sont interdits sur le territoire européen » n’est-elle pas suffisante si ce n’est parce qu’on veut ouvrir les portes à la longue ?

(« Fumer est interdit dans les lieux accueillant du public« , c’est clair et sans risque autre que la définition de « accueillant du public ».)

Le plus important en préambule n’est pas l’avis pseudojustifié des semenciers (OGM ou autres d’ailleurs) mais de savoir sur le territoire européen dans quelles mesures les superexploitants agricoles trouvent un intérêt individuel à ces produits, un intérêt fondé sur une réflexion censée justifiant leur emploi.

Y a-t-il un débat quelque part ? Et je ne parle pas ici des objectifs convenus des syndicats mais de l’implication individuelle, hors tout esprit politique de clocher, voire en dehors de toute considération écologique.

Simplement partager les questions sans donner les réponses lues dans les magazines professionnels où entendues dans des discours promotionnels ou syndicaux :

  • les OGM dans mes champs, ça m’apporte quoi ?
  • connaît-on suffisamment la vie des sols pour les arroser ensuite de pesticides et engrais ?
  • l’augmentation de rendement/hectare justifie-t-il l’emploi de poison ? (et peut-être en préambule cette autre question — plus partisane j’en conviens — :  savons-nous vraiment que les trucs en -cide sont des poisons, qu’ils servent à tuer sans distinction la plupart du temps ?)

Peu importent les réponses de ce brain-storming. Ce qui serait important dans ce genre de débat est la mise en commun humble de ce qu’on veut partager (sans argument sortie de la poche, avec des mots des vrais, des pensées personnelles).

Il faut à la fin repartir sans conclusion pour qu’elle viennent après, dans l’intimité, en se reposant à soi tout après le débat ces mêmes questions agrémentées de ces deux autres  :

  • Et Toi, Tu penses quoi de ça ?
  • Tu Te sens prêts à chercher des réponses personnelles à proposer aux autres ?

En gros cela revient à travailler la question sur les deux éléments que sont le bon sens et le libre arbitre….

Le gouvernement de l’Europe s’échine contre l’avis des peuples à ouvrir les portes pour une cause qui finira par l’étouffer car son objectif n’est pas, ABSOLUMENT PAS, quoi qu’elle en fasse savoir, cette cause, le bien-être humain. C’est quelque chose dont elle se contrefiche passablement, et son objectif à lui comme gouvernement européen ne veut guère mieux… : la rentabilité économique, faire travailler le marché mondial (au titre que les intérêts de tous sont maintenant partout sans doute) !….

En évoquant « l’avis des peuples » ci-dessus je parle de ceux (des individus) qui se prononcent pour ou contre ou encore sans avis sur deux questions du style :

  • êtes-vous pour, contre, ou sans avis concernant la plantation d’OGM sur notre territoire ?
  • êtes-vous pour, contre, ou sans avis concernant l’utilisation d’OGM dans l’alimentation humaine et animale, la cosmétique et la pharmacie  ?

(Il faut laisser de côté tous les votes non-exprimées selon un de ces trois termes.)


Je suis désolé, mais ce manque de déterminisme de la part de l’Europe qu’il faut cacher par de la législation me donne des nausées… je vais essayer de faire mieux pour le prochain billet…

A+, chers lecteurs.

Patrick ROUSSEL

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2015 : sol et lumière

2015 : année du sol et de la lumière

Entre sol et lumière : le vivant s’exprime !

La lumière descendant vers le sol en fait jaillir de la matière vivifiée transportée par l’eau.jeu de lumière prismatique sur arbrisseaux

En effet, si l’on observe ce qui se passe, on perçoit que la lumière brasse, stimule le milieu vivant pour qu’y naissent des formes que l’eau terrestre du sol pourra habiller de matière.

Espérons, espérons…

  • Espérons qu’on comprendra, ou qu’on commencera à comprendre que la lumière si elle possède un versant matériel qu’on s’accorde volontiers à voir sous forme de photon possède aussi un versant plus large comme étant une part intègre du milieu vivant.
  • Espérons qu’on comprendra, ou qu’on commencera à comprendre que le sol s’il possède un versant matériel qu’on s’accorde à voir sous forme d’assemblage d’éléments physicochimiques possède aussi un versant plus large comme étant une part intègre du milieu vivant, ne serait-ce déjà qu’avec sa microbiologie (non comprise dans la table des éléments de Mendeleïev … ceci dit dans un total respect et avec un grand merci cher Monsieur pour votre regard perspicace).

2014 était l’année des océans… on ne peut pas dire que l’effet fut foudroyant et que la conscience à leur sujet ait franchi la limite de ceux qui s’en souciaient déjà ; mais ne soyons pas pessimistes : espérons, espérons…

Espérons que le Vivant devienne la préoccupation N°1 de la science… bien que pour l’heure, ce ne soit pas un sujet du tout. Mais ne soyons pas pessimistes : espérons, espérons…

Belle chose cette année 2014 comme en 2013 que la rencontre de Vandana Shiva et Pierre Rabhi. Deux grands esprits sans autre dogme qu’un humanisme forcenée (humanisme au sens noble et large du mot). Voici deux extraits car je n’ai pas trouvé trace de la vidéo complète (merci à Le goût est dans le pré) :

Espérons que la graine naissante de cette (ces) rencontre(s) porte des fruits dans les consciences écologiques et les consciences économiques. Pour l’heure certains pensent plus à récupérer des clichés sympa du monde des écologistes et les tourner à leur avantage (comme les grands mots : avenir, développement durable, nature, vie, etc.)… pourvu que ça leur rapporte, ils ne sont pas à ça près ! Mais ne soyons pas méchantes langues ni pessimistes : espérons, espérons…

Pour finir, écoutons Vandana Shiva, je m’associe pleinement à ses vœux :

 

Meilleurs vœux pour tous ; et que les perspectives positives, porteuses, humaines et partagées accompagnent cette nouvelle année de façon constructive.

 

Patrick ROUSSEL

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Les loups : naissance d’une cascade trophique ?

Les cascades « trophiques »… Ou comment celui qui mangent ceux qui mangent soignent la nature et ne commettent pas de méchante atrocité (encore un fait typiquement humain, ce qui fait de lui, une non-animal…).

Le grand méchant loup [1]

Bon, chez nous les loups mangent les moutons, puisque les moutons sont élevés dignement (hum !!! disons, plus ou moins dignement) dans les alpages et c’est un vrai problème de société humaine de consommation, sans doute plus que d’éleveur : on ne rentre pas 800 bêtes tous les soirs et on ne les circonscrit pas facilement tout le jour ! Là encore, c’est une question de dose à justement peser entre développement local et développement (inter)national.

Chaque espèce joue son rôle dans la nature, et quand elle disparaît, et bien c’est peut-être parce qu’elle doit disparaître…

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Rien à dire…

Claude Bourguignon :

Merci ! Mais comment leur faire comprendre à ceux qui ne veulent même pas entendre ?

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Tempète à l’INRA

Tous les chercheurs ne sont pas tous à mettre dans le même panier heureusement. Cette lettre,
http://www.reporterre.net/IMG/pdf/inra-demande_de_retrait_du_rapport_inra-lettre_v_0.pdf
est positive et dénote un acte courageux de la part des signataires qui par elle vont contre la direction que leur institut a souhaité prendre en publiant le rapport suivant :
http://www.strategie.gouv.fr/blog/wp-content/uploads/2013/10/rapport-INRA-pour-CGSP-VOLUME-1-web07102013.pdf
sans en avoir sans doute maîtriser les tenants et les aboutissants. Ce rapport semble assez superficiel dans son analyse (malgré 321 pages qui évitent que le quidam cherche à tirer la quintessence  !) et plutôt partisan – voir http://www.reporterre.net/spip.php?article5402 si on ne veut pas lire la lettre qui le dénonce -.

Notre travail de lecteurs (ou de chercheurs) serait plutôt de comprendre l’hégémonie dans laquelle se positionne la science en général qui devient l’autorité en tout sur la seule base de ce qu’elle croit ou accepte de croire qui entre dans ses compétences. Le reste, elle ne comprend pas donc cela n’a pas de sens pour elle, mais des hommes et des femmes qui travaillent pour elles n’ont pas forcément les mêmes points de vue…

On a mis derrière nous la tutelle des églises et des confessions pour gérer la politique, il faut maintenant lutter contre pire sans doute : la technoscience pour qui le vivant n’est que fadaises de baba-cools, technoscience qui brille avec les outils qu’elle nous offre dont ceux qui nous permettent de  »communiquer » ou de nous amuser !
Le vivant doit être la base du travail pour un développement durable et non un asservissement de la nature…

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Absolu du printemps, météorologie et immigration !…

La super lune de 2013, entre lumière et nuit et masses nuageuses
La super lune de 2013, entre lumière et nuit et masses nuageuses

Existe-t-il un absolu du printemps ?

Derrière le mot absolu il faut lire la possibilité de prévoir l’intensité du printemps.

  • « Les oignons n’ont pas beaucoup de pelure, l’hiver ne sera pas froid » qui n’a pas ce genre de sentence en travers de la mémoire.
  • Un hiver tiède annonce-t-il un printemps chaud et un été pourri, ou le contraire ?
  • Les saisons sont-elles en harmonie avec autre chose que la circulation circumsolaire annuelle ?
  • Les saisons ont-elles un sens qui ne soit pas une dépendance d’une mécanique céleste ?

Pour le temps pourri, les variations de températures et les tempêtes à répétition, les sautes d’humeur de la météo, on peut faire les hypothèses que l’on veut, force nous est de constater qu’il s’agit de situations déséquilibrées, ou plus magistralement formulé : d’une situation de déséquilibre.

Ce déséquilibre navigue entre l’activité de 7 milliards d’humains, activité extra-naturelle, et la nature naturelle (avec ou sans le genre homo). On ne se contente pas de manger et boire, roter, digérer, péter, excréter et uriner, dormir et reproduire l’espèce, on travaille aussi sur notre biotope (culture, sélection, paysage, etc.) et on déborde largement sur un manque de conscience qui pourrait faire de nous des humains plus que les animaux les plus stupides de la planètes (aucun ne cochonne à notre point son territoire de vie en se croyant plus malin que les autres !).

Bref, il ne s’agit pas de faire un procès à l’humanité. Elle en est là où elle en est, la faute à ses attentes face à des industriels qui n’attendent que ça !

L’équilibre climatique de la planète est le tiers facteur influant sur la qualité des saisons après l’histoire de la mécanique céleste qui à notre époque positionne la Terre au plus proche du soleil en situation d’hiver boréal et la géographie. Oui, la géographie, le dessin de la planète.

  • Hémisphère nord : beaucoup de terres et peu de mer, mais un pôle marin
  • Hémisphère sud : beaucoup de mer et peu de terres, mais un pôle terrestre.

Autrement dit une répartition apparemment aléatoire de la Pangée disloquée relativement harmonieuse dans son déséquilibre.

L’équilibre climatique se trouve confronté à des masses d’air globalement réparties et d’eau inégalement réparties qui par leur mobilité modifient sans cesse les conditions météorologiques à cause du rythme circadien à côté du cycle annuel.

Les grandes colorations saisonnières s’établissent donc sur un mélange de fonctions naturelles variables et d’autres artificielles qui s’intensifient et sont du fait des actions humaines.

Qu’on soit d’accord avec le GIEC ou pas, force est de constater que nous épuisons la nature en terme d’espace (agriculture intensive), que nous transposons des ressources énergétiques en terme de temps (carburants fossiles) et que nous sollicitons une activité non naturelle de la radioactivité normale par concentration dans les centrales nucléaires, formant des déchets concentrés, et par des pollutions – déconcentration – par dispersion (eau et air) !

Le tableau n’est pas reluisant, et encore moins si l’on ajoute les pesticides qui en stérilisant les terres diminuent fortement leurs différents potentiels tels rétention d’eau et régulation chaleur qui sont les deux facteurs majeurs d’action (micro)climatique !

Tout ça c’est ce qu’on sait, mais il y a  aussi tout ce qu’on ne sait pas…

Le train-train de la planète possède donc toute latitude pour dérailler comme bon lui semble, faire ses poussées de fièvre, ses éruptions cutanées, ses psoriasis et autres mélanomes et tumeurs malignes en réaction à ce qui le dérange.

La météo n’est pas le temps qu’il fait mais bien l’étude des météores donc des phénomènes atmosphériques (dépressions, anticyclones, précipitations, etc.). À chaque jour qui passe les météorologues cherchent à affiner les équations mais à chaque jour qui passe nous créons de nouvelles conditions de modification (telle industrie rejette du Ka3(PiKo)2 dans l’atmosphère : mais comment l’humidité et la chaleur atmosphérique s’accommode-t-elle de cet immigré contraint ?…).

L’humain sort tout de son train-train naturel pour le prendre dans le sien qui est intention, volonté, conscience, puissance, pouvoir. Ces « choses humaines » évoluent en permanence, elles font que le temps file alors qu’il devrait être dans l’intemporalité sans l’humain (nature qui tourne en rond en fonction des élans solaires ou telluriques seulement).

On est pas au bout de nos peines pour savoir quel est le bon chemin pour aller vers demain avec seulement un peu plus de sérénité.

Et ce billet de blog est partie des pelures d’oignons pour arriver à la météorologie en passant par l’immigration (j’ai même eu l’occasion de parler de genre, mais pas de celui du  débat actuel !).

Allez chers tous qui suivaient le même train que moi, à la prochaine fois.

 

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