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Environnement I

Note préambulaire : quelques jours après la publication de cet article, je reçois la lettre deNotre-Plante.info dont un des articles est Vocabulaire officiel de l’environnement (Source : http://www.notre-planete.info/environnement/vocabulaire.php). Le mot environnement n’y est pas en entrée…

Le mot « Environnement » est mis à toutes le sauces depuis l’avènement de l’écologie politique mais comment envisager vraiment sa réalité ?

En-vi-ro-nne-ment… on lira avec intérêt l’article wikipédia sur le sujet mais je propose quand même qu’on essaie de voir la chose autrement.

L’environnement, n’allons pas par 4 chemins pour comprendre de quoi il s’agit c’est ce qui est autour de .

Autour de quoi ? de chacun, d’une partie, d’un ensemble et même de la planète, voire du Tout ! En ce dernier sens l’environnement lui-même s’entoure de lui-même par essence. Sans lui c’est l’ouverture sur le vide, l’aspiration vers le néant puisque, entend-on encore, la nature a horreur du vide (idée d’Aristote).

Est-ce tout ? Voyons, voyons…

Pour l’heure observons ce qui est autour de … nous, êtres pensants cherchant la connaissance des choses qui nous entourent !

Qu’est-ce qui est au plus proche de nous ?

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Absolu du printemps, météorologie et immigration !…

La super lune de 2013, entre lumière et nuit et masses nuageuses
La super lune de 2013, entre lumière et nuit et masses nuageuses

Existe-t-il un absolu du printemps ?

Derrière le mot absolu il faut lire la possibilité de prévoir l’intensité du printemps.

  • « Les oignons n’ont pas beaucoup de pelure, l’hiver ne sera pas froid » qui n’a pas ce genre de sentence en travers de la mémoire.
  • Un hiver tiède annonce-t-il un printemps chaud et un été pourri, ou le contraire ?
  • Les saisons sont-elles en harmonie avec autre chose que la circulation circumsolaire annuelle ?
  • Les saisons ont-elles un sens qui ne soit pas une dépendance d’une mécanique céleste ?

Pour le temps pourri, les variations de températures et les tempêtes à répétition, les sautes d’humeur de la météo, on peut faire les hypothèses que l’on veut, force nous est de constater qu’il s’agit de situations déséquilibrées, ou plus magistralement formulé : d’une situation de déséquilibre.

Ce déséquilibre navigue entre l’activité de 7 milliards d’humains, activité extra-naturelle, et la nature naturelle (avec ou sans le genre homo). On ne se contente pas de manger et boire, roter, digérer, péter, excréter et uriner, dormir et reproduire l’espèce, on travaille aussi sur notre biotope (culture, sélection, paysage, etc.) et on déborde largement sur un manque de conscience qui pourrait faire de nous des humains plus que les animaux les plus stupides de la planètes (aucun ne cochonne à notre point son territoire de vie en se croyant plus malin que les autres !).

Bref, il ne s’agit pas de faire un procès à l’humanité. Elle en est là où elle en est, la faute à ses attentes face à des industriels qui n’attendent que ça !

L’équilibre climatique de la planète est le tiers facteur influant sur la qualité des saisons après l’histoire de la mécanique céleste qui à notre époque positionne la Terre au plus proche du soleil en situation d’hiver boréal et la géographie. Oui, la géographie, le dessin de la planète.

  • Hémisphère nord : beaucoup de terres et peu de mer, mais un pôle marin
  • Hémisphère sud : beaucoup de mer et peu de terres, mais un pôle terrestre.

Autrement dit une répartition apparemment aléatoire de la Pangée disloquée relativement harmonieuse dans son déséquilibre.

L’équilibre climatique se trouve confronté à des masses d’air globalement réparties et d’eau inégalement réparties qui par leur mobilité modifient sans cesse les conditions météorologiques à cause du rythme circadien à côté du cycle annuel.

Les grandes colorations saisonnières s’établissent donc sur un mélange de fonctions naturelles variables et d’autres artificielles qui s’intensifient et sont du fait des actions humaines.

Qu’on soit d’accord avec le GIEC ou pas, force est de constater que nous épuisons la nature en terme d’espace (agriculture intensive), que nous transposons des ressources énergétiques en terme de temps (carburants fossiles) et que nous sollicitons une activité non naturelle de la radioactivité normale par concentration dans les centrales nucléaires, formant des déchets concentrés, et par des pollutions – déconcentration – par dispersion (eau et air) !

Le tableau n’est pas reluisant, et encore moins si l’on ajoute les pesticides qui en stérilisant les terres diminuent fortement leurs différents potentiels tels rétention d’eau et régulation chaleur qui sont les deux facteurs majeurs d’action (micro)climatique !

Tout ça c’est ce qu’on sait, mais il y a  aussi tout ce qu’on ne sait pas…

Le train-train de la planète possède donc toute latitude pour dérailler comme bon lui semble, faire ses poussées de fièvre, ses éruptions cutanées, ses psoriasis et autres mélanomes et tumeurs malignes en réaction à ce qui le dérange.

La météo n’est pas le temps qu’il fait mais bien l’étude des météores donc des phénomènes atmosphériques (dépressions, anticyclones, précipitations, etc.). À chaque jour qui passe les météorologues cherchent à affiner les équations mais à chaque jour qui passe nous créons de nouvelles conditions de modification (telle industrie rejette du Ka3(PiKo)2 dans l’atmosphère : mais comment l’humidité et la chaleur atmosphérique s’accommode-t-elle de cet immigré contraint ?…).

L’humain sort tout de son train-train naturel pour le prendre dans le sien qui est intention, volonté, conscience, puissance, pouvoir. Ces « choses humaines » évoluent en permanence, elles font que le temps file alors qu’il devrait être dans l’intemporalité sans l’humain (nature qui tourne en rond en fonction des élans solaires ou telluriques seulement).

On est pas au bout de nos peines pour savoir quel est le bon chemin pour aller vers demain avec seulement un peu plus de sérénité.

Et ce billet de blog est partie des pelures d’oignons pour arriver à la météorologie en passant par l’immigration (j’ai même eu l’occasion de parler de genre, mais pas de celui du  débat actuel !).

Allez chers tous qui suivaient le même train que moi, à la prochaine fois.

 

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Vous avez dit « nucléaire » ? (avec message pour AREVA)

Publié le 7 juin 2013 par Patrick ROUSSEL

 

Chers lecteurs, voici un billet hors thème du mois.

Le nucléaire… : il y aurait tant à dire sur ce sujet que je préfère généralement me taire.

Mais l’augmentation prochaine des tarifs edf soit disant justifiée par la couverture des frais de fonctionnement m’a poussé un peu à réfléchir sur la question de la production d’électricité à partir du nucléaire dont se charge directement edf (et éventuellement de façon indirecte avec son partenaire areva qui installe son EPR en partie sur nos deniers pour pouvoir faire de gros profits peut-être bien sans avoir à couvrir des frais de fonctionnement, de démantèlement, etc. bref je ne sais pas trop quels sont les accords edf erdf areva état).  edf ne fait pas tout mais sous-traite à des entreprises qui vendent leur services et empochent les bénéfices…

Sur le site edf on trouve :

« EDF prend en charge la totalité de ses déchets radioactifs depuis la mise en service de sa première centrale nucléaire. Pour les gérer, l’entreprise a toujours appliqué quatre principes qui permettent de réduire les déchets et de protéger l’homme – aussi bien le public que les salariés – et l’environnement. »

C’est faux, ou alors edf c’est nous…

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