
À propos de l’article : Climat : « À 1,5 degré de plus, la moitié de l’humanité va mourir », alerte Fred Vargas«
Voici quelqu’une qui affirme quelque chose de terrible ! Chercheuse plus connu comme écrivaine, je me dis que chacun peut y aller du sien quand il s’agit de faire prendre conscience !
MAIS BON SANG, on s’en fout, enfin je m’en fous, de ce que peuvent dire les gens.
Personnellement, j’attends des actes de la part des autorités. Qu’elles rangent leurs ambitions progressistes.
Pour l’heure on palabre, on palabre, on palabre, on s’apitoie sur la nouvelle carte du niveau des mers pour demain matin 8h du fait des activités humaines, on déprime face à la tragédie que vit la nature du fait des activités humaines, et ON CONTINUE !!!
Comme 97 ou 97 % de l’humanité suit ce qu’on lui dit de faire, comme 1 % de l’humanité prétend savoir ce qu’il faut faire et dirige la vie économique à l’aune de ses « croyances » et comme 1 % fait ce qu’il peut en triant, recyclant, faisant attention à son impact sur la nature avec ses déplacements, ses choix alimentaires, thérapeutiques et … culturels (bin oui, c’est sacrément important puisque c’est par là qu’on se décide à agir à travers une prise de conscience) et bien, on est très mal partie en tant qu’humanité…
Quant à la Nature, elle s’en fiche un peu… elle se dit que l’humanité vaut certainement les sacrifices que cette dernière lui impose en se disant qu’elle s’adaptera mais que c’est dommage que toutes ces espèces disparaissent à cause de l’ACTION INCONSCIENTE ET INCONSÉQUENTE DE L’ÊTRE LE PLUS CONSCIENT DE SES ACTES QU’ELLE PORTE SUR SON DOS !
Si le nom Fred Vargas comme tous les autres qui s’y mettent peut faire changer quoi que ce soit à l’action individuelle, alors vive les colibris… mais faites gaffes aux prédateurs, ce n’est pas le nombres de petits qui compte dans cette jungle humaines, c’est l’ambition des de quelques gros PRÉDATEURS ET AUTRES DIRIGEANTS, ceux qui dictent la loi du plus séduisant, c’est-à-dire du plus rentable pour adoucir les fins de mois, voire la fin de moi….
Et puis je m’interroge… : jusqu’où ces façadiers sont-ils verts dans leur quotidien ?