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académisme science

Dieu n’existe pas ! La belle affaire…

Bainbridge : « Maintenant nous sommes tous des fils de pute. ».
Oppenheimer : « Maintenant je suis la Mort, le destructeur des mondes. ».
source : Wiki Essai Trinity
(voir aussi un de mes premiers billet de blog)

Dieu n’existe pas

et autres âneries du genre

(que vous saurez découvrir par vous-même après le lecture de ce billet…)

Les faits

 » Dieu n’existe pas !  » Ce genre d’affirmation m’irrite toujours. Pourquoi ? Eh bien la raison en est très simple et éminemment scientifique.

A cette affirmation, véritable protubérance de l’incroyance et, pire, tumeur maligne insidieuse, il convient juste de proposer la question :

comment définis-tu, toi, critique, CE que tu dis ne pas exister ? *

Un autre exemple… pour défendre le premier

Einstein, avec sa relativité générale, nous a montré que la masse (propriété de la matière) courbe l’espace-temps. Soit, si Einstein ** l’a dit… alors tout est dit. Donc il convient de finaliser le raisonnement en se disant que l’univers est d’une platitude effarante… (pour en savoir plus). Les gaulois avait donc raison car si l’univers est plat, la Terre doit l’être aussi sinon cela ferait une bosse.

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cognition Observations paradigme science naturelle

« Penser » la nature

Article en relecture mais livré aux réflexions : vos commentaires sont les bienvenus.

Préambule

Posons d’emblée la réflexion qui va solliciter notre attention :

Est-il vraiment possible de penser la nature* ?

* Nature = milieu à la fois physique et vivant.

Ceux qui parcourt ce blog ont déjà une part de la réponse à travers tout ce qui a déjà été dit : Non, on ne peut pas penser la nature ! C’est un peu court, dirons les plus spécialistes qui passent leur temps à l’étudier sous toutes ses coutures et avec des résultats et des conclusions qui tiennent la route. Et je les en félicite ici grandement. Leur travail est souvent remarquable, et il l’est d’autant plus qu’ils se contente de montrer des phénomènes, de les commenter dans leur aspects les plus divers. En général, je m’arrête à ce niveau et dès que je sens pointer des éléments qui ne concerne qu’une part étroite de la nature, alors je ne lis plus…

Aussi je reformule ma question : jusqu’où est il possible de penser la nature ?

Quand les pensées personnelles ou académiques viennent se mêler à l’observation, la description c’est un peu comme si on accolait deux mondes :

  1. le monde perçu dans sa part à laquelle nous sommes sensibles, nous ou nos instruments, c’est-à-dire la part sensible du monde qui se dévoile à nous
  2. et le monde de notre conscience par laquelle nous nous faisons et nous fondons nos représentation, nos interprétations, les extensions que nous greffons sur le monde perçu avec des logiques évidentes.

Entre 1 et 2 il y a un hiatus, un espace vide où la chose (externe) perçue devient notre propriété imagée (interne). Et là presque tout est possible du plus réaliste au plus fantaisiste. La chose consistante, le mur sur lequel on bute par exemple, devient inconsistante, il y bien plus de vide que de plein dans un mur ! Alors pourquoi ne passe-t-on pas à travers en louvoyant ?… En général, c’est dans le cas N°2 qu’on réfléchit, et cela est bien naturel car nous n’expérimentons pas forcément le cas N°1.

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cognition culture développement paradigme science société

Le progrès, et sa valeur

(Cet article a valeur d'amorce de réflexion et non de définition.)

Mouvement en avant, en arrière, sur le côté, un pas après l’autre dans une direction : nous progressons !

L’humain progresse. C’est même plus fort que lui, comme s’il était tiré vers l’avenir, quitte à y aller à reculons ! Le progrès est le propre de l’homme… si tant est que cela lui appartienne, c’est ce que je propose de voir dans ce billet.

La perspective du progrès dépasse largement le bien-être ou simplement le mieux-être. Il ne s’agit pas de savoir mieux manger (selon des lois de la diététique), d’avoir un toit pour s’abriter et avoir chaud, non, il s’agit de connaissance, de naître avec ce dont on prend conscience !

Ne jamais demeurer trop longtemps dans les mêmes conditions de vie, toujours aller de voir ailleurs, faire évoluer les choses, les transformer, en un mot les dépasser ! Toujours, savoir puis améliorer, et de fil en aiguille on bâtit ce qu’on appelle le progrès.

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anthropologie cognition

Cerveau, conscience et je : le manche, la lame et l’artisan

(Cet article fait suite à celui-ci : Utilise-t-on notre cerveau ? )
Au lieu de chercher dans mes propres travaux d’entrelacs pour faire une photo, je suis tombé sur ce site magnifique en cherchant un image toute prête. (En cliquant sur l’image on atteint le site, merci à son auteur.)

Être conscient c’est percevoir dans la veille ce qui agit sur nous et pouvoir l’exprimer par des mots, des gestes, des pensées, etc. Le cerveau sert à ça et à quelques fonctions que je qualifierai de routinières ; mais sur tout ce qu’il fait, moi, je n’ai guère d’emprise !

Pour l’heure, ce qui pense, ce qui s’exprime, ce qui est conscient est  »je », pas mon cerveau.  »Je » profite de lui, comme  »je » profite de ses sens pour apprécier le monde et savoir que  »je » existe, et aussi comme  »je »profite de sa volonté pour modifier son environnement ou bien, en allant vers l’intérieur, pour satisfaire, guérir, son corps de chair, comprendre qui  »je » est.

La conscience est alors l’espace que ‘je’ est capable d’embrasser.

Nous voilà bien avancés ! Au cerveau physique, matériel, facile à disséquer j’oppose l’être conscient, être que la loupe puissante, même la plus puissante, celle de la physique quantique, n’a pas (encore ?) réussi à trouver.

Évidemment, trouver une aiguille dans une botte de foin, ce n’est pas facile, surtout si elle n’est pas métallique mais organique. À l’impossible nul n’est tenu… mais trêve d’adages, le sujet est plus important !

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