Partie II sur 2
Ce virus est une opportunité maladive
L’article précédent annonçait le contenu de celui-ci :
- La liberté
- L’ânesse Pétula, le cancre de JPrévert, et les Moutons de FdKresz
Tout un monde, n’est-ce pas ? Un peu disparate, n’est-ce pas ? Mais la vie est ainsi qui rassemble l’ortie et la rose, la sardine et le requin, des philanthropes et des égoïstes, l’éruption volcanique et la fertilité des terres, le bien et le mal, l’amour et la peine sinon la haine, l’anarchiste et le patriote, le trifouilly-les-oyens et les citoyens du monde, etc.. Il faut de tout pour le faire, ce monde.
La liberté
Ah, la liberté ! On la veut, on la (ré)clame, on la revendique, on écrit son nom sur les murs. Mais quoi ?… « JE VEUX » et l’autre ne veut pas la même chose !!!
JE VEUX implique le TU DOIS… et on comprend vite que c’est intenable socialement parlant… mais même tout seul avec sa liberté d’ermite ça n’est pas évident. Parce que même tout seul, il y a l’AUTRE, le monde. Et lui il ne VEUT rien, il EST. Il n’attend de nous, il nous laisse libre, et nous, pauvres bougres, nous DEVONS faire avec, avec son cadre physique, sa capacité de vie qui nous ramène toujours à une certaine contingence. ÊTRE ou NE PAS ÊTRE… demandait Hamlet, ÊTRE en même temps que NE PAS ÊTRE propose la physique contemporaine.