Terrible ! C’est terrible, ce qui nous arrive !
Cette formule rappellera une réplique à ceux qui ont aimé La belle verte de Coline Serreau [1], et la solution à nos problèmes de sociétés consuméristes semble presque ne résider que dans l’utopique perspective développée dans le même film.
Extrait « La belle verte »
Le film d’animation suivant, tout en dressant, un tableau un peu noir de notre voracité, nous invite à réfléchir profondément sur le concept de développement durable.
Il présente entre autres la chose suivante : la science peut offrir des techniques d’utilisation améliorée de l’énergie, mais pas l’énergie.