Un peu d’arithmétique ne fait pas de mal.
Il va de soi que le titre de cet article n’a rien d’exhaustif. On peut inventer à l’infini (au sens vrai du terme) des calculs qui donne 24, même des très compliqués si on veut s’en donner la peine.
Maintenant observons une autre chose, par exemple, une évocation de Pythagore :
« Tout est nombre. »
Ainsi les nombres seraient le principe des choses, de l’harmonie universelle. Nous voilà bien avancés… Même Disney en parle à travers une expérience initiatique de son Donald de 1959, et le web (bâti sur les nombres souvenons-nous) aujourd’hui ne tarit plus sur le sujet de la magie des nombres et de la preuve par l’image. Mais ce dernier fait remonte bien au-delà du web…
Cette magie des nombres possède en effet un très haut potentiel de séduction pour peu qu’on regarde les nombres comme quantité seulement c’est-à-dire sous une forme qui en est la manifestation basique : 1 est le premier entier, c’est l’unité, la pulsation, et 2 devient subitement stérile si on ne le prend qu’en tant que somme de deux unités entre elles et ainsi de suite avec 3, etc.